• Interview Bad Habit

     

    Interview with Hal Marabel Bad Habit's guitarist on 25 march by mail

    Valérie : Your 1st cd came out in 1988, now we are in 2009, "Above and beyond" is your seventh album. Is it a choice on your part so long waits between albums? Do you have any solo projects or parallel between two Bad Habit's albums?

    Hal : Bad Habit has always been a project where we come together and make an album when the feeling is there and we feel that the time is right... We all do other thing sin between albums – music and other... For my own part, I write songs for other as well as having my side-project ARENA Sweden, whihc a bit more pop/rock...

    Valérie : Are you satisfied with the reactions following the exit of your last album?

    Hal : The feedback for the new album has been really amazingly good... which is of course nice as we feel very satisfied with the end result of this production...

    Valérie : What do you think of the return of the famous bands of 80 years as EUROPE, WHITE LION or MOTLEY CRUE?

    Hal : I think there are some great re-unions and some not so great ones...If you do it for the right reasons and can show some form of development of the band or the music, then it’s a good thing...

    Valérie : I have the impression that for the Scandinavians in general, good music is an evidence. There are big bands of Rock and Metal in general as EUROPE for Sweden or NIGHTWISH for Finland for example. Have you an idea of where from this talent can come?

    Hal : I think that each culture and individual’s musical background add a particular flavour to a band, no matter which country they’re from... Especially if there diverse musical influences in a band... the sound and style will become more special...

    Valérie : I did the chronicle of your latest CD, (It's excellent), I think the beginning of "A Lot To Learn » makes me think of U2. What do you think? :-)

    Hal : This is actually an older song that has been re-arranged... It was not the intention to make it sound anything like another song but we relised that the intro had a bit of a U2 association... but felt that this would be a homage to one of the great bands of our time...

    Valérie : If you had to choose a Metal Female singer to do a duet with you on a title, who you would choose and why?

    Hal : Well, the are some really great rock singers out there but the names that come to mind are not metal singers but rather pop/rock... Pink and Kelly Clarkson are two singers I would very much like to work with...

    Valérie : What bands gave you the desire to be a musician?

    Hal : There are quite a few bands that have been great inspirations to me... The first wave of bands that affected me strongly were: Kiss, Sweet, Slade... The second wave of bands were: Van Halen, Def Leppard, Toto Journey...

    Valérie : How do you compose your songs? The idea comes first the lyrics or music?

    Hal : Most often it is the melodic hook or chorus that comes to me first... It can be a keyboard flow or a guitar riff or the lead melody... The lyrics always come last...

    Valérie : What was your reaction the first time you heard a song of your band on the radio?

    Hal : That was back in 1987 with our first ever single release ‘Need Somebody’ which was also shown as a video on TV... Is was the greatest feeling... we were all very proud...

    Valérie : If you had to choose bands with whom you'd like to play at a festival, you choose who and why?

    Hal : I would love to play with other melodic bands like Dare, Def Leppard and of course Journey – the kings of melodic rock... I think it would make a good line-up as well as being nice to meet the guys in those bands...

    Valérie : What is according to you the easiest public and which is the most difficult?

    Hal : The right audience for us is obviously the melodic followers... and the crowd wanting to hear more heavy rock would of course be more challenging for us to play for... I think they would like our heavier tracks though but we would have to put together a different playlist...

    Valérie : If you had to choose just one song from your new album to talk about your album, which would be and why?

    Hal : The opening song ‘I Don’t Want You’ captures the Bad Habit soul and essence in the best way... It has everything that the band is all about... melodic hooks, big chorus, nice keyboards and powerful backing vocals... So, this would be the track of choice...

     

     

     

     

    Chronic of the album here :

    Chronic bad habit


    votre commentaire
  • INTERVIEW DE JOEY TEMPEST (CHANTEUR) D’EUROPE

     

    Lors de son passage à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Foire" w:st="on">la Foire</st1:PersonName> aux Vins de Colmar en août 2004, le groupe suédois Europe n’avait donné aucune interview, certainement dû au stress engendré par leur reformation. Heureusement, entre temps le groupe a donné de nombreux concerts lui permettant de retrouver son assurance et d’être à nouveau disponible pour des interviews. De ce fait, lorsque la proposition de rencontrer l’un des membres du groupe m’a été faite à l’occasion de sa venue au Z7 le 9 mars dernier, j’ai tout de suite accepté. Au final, c’est en compagnie d’un collègue animateur de radio sur Bâle que l’entretien s’est déroulé en présence d’un Joey Tempest très détendu et très ouvert à nos questions. (Yves)

     

    Est-ce que tu te rappelles le show qu’Europe a donné en août dernier à <st1:PersonName ProductID="la Foire" w:st="on">la Foire</st1:PersonName> aux Vins de Colmar ?

    Oh oui, je m’en souviens très bien et quand on s’est retrouvé après le concert avec les autres membres du groupe ont c’est dit qu’on venait vraiment de réaliser un show d’enfer et que c’était de cette manière là qu’il fallait continuer à donner des concerts.

     

    Justement, cela faisait longtemps que vous n’aviez plus tourné. Comment cela se passe-t-il ?

    Bien, nous avons commencé l’année dernière avec le Sweden Rock Festival, puis nous avons fait des festivals l’été dernier, pour enchaîner par des tournées en Scandinavie, en Europe et au Japon en janvier, puis redémarrer une nouvelle tournée européenne. A l’issue de celle-ci, nous irons en Amérique, pour revenir en Irlande et en Ecosse  puis quelques festivals et après nous allons composer notre nouvel album.

     

    Par le passé, vous avez eu un succès phénoménal et vous avez joué dans de grands stades et des grandes salles alors que maintenant vous jouez dans des endroits plus petits. Cela n’est-il pas difficile ? :

    Non, nous aimons jouer et nous avons déjà connu cela par le passé, car nous n’avons pas toujours joué dans de grands endroits et puis actuellement cela dépend des pays, car selon les endroits, les salles sont plus ou moins grandes, mais cela ne nous gêne pas. C’est à nous de tout donner et de bosser dur pour retrouver des endroits plus grands.

     

    Tu as fait pas mal de choses pendant la séparation d’Europe comme des albums solos ou d’autres projets. Est-ce que Europe est ton seul projet ?

    Oui, absolument, car je ne peux pas me concentrer à 100% sur deux choses à la fois. Nous avons bossé pas mal sur notre futur dvd que nous avons enregistré il y a peu à l’Hammersmith à Londres. C’est un super dvd, car en plus du concert, il y aura des interviews et des scènes backstage.

     

    Votre dernier album s’intitule  “Start From The Dark”. Quand vous avez recommencé à tourner, est-ce que ce titre s’est appliqué dans le sens ou cela a été  “un départ de l’ombre” ?

    Non, pas vraiment car aller à la rencontre des fans et jouer a vraiment été facile. Cela a été un vrai plaisir et nous ne pensions pas que la réponse des fans serait tellement enthousiaste. C’est quelque chose de fabuleux. En fait, nous avons gardé secret notre retour et tout s’est fait discrètement en Suède pendant l’hiver. Nous avons mis également dans cet album ce que nous ressentions. Tout s’est fait naturellement. Nous avons débuté en juin l’année dernière avec John et trois titres “Start From The Dark”, “Got To Have Faith” puis “Settle For Love”  et après tout s’est enchaîné : j’ai écrit avec Mick puis ensuite tout seul. La seule chose que nous savions, c’était que nous avions un son plus moderne aux niveaux des guitares.

     

    Etes-vous satisfait des ventes de l’album ?

    Oui, nous avons trois différentes compagnies qui s’occupent de l’album : il y a Sanctuary en Europe, Sony en Scandinavie et JVC au Japon. Chacun travaille de manière différente mais ils le font très bien. Sanctuary par exemple est vraiment important en Europe et surtout ils ont des groupes live. Les ventes ne sont pas comparables aux eighties, mais c’est ok.

     

    Est-ce que tu apprécies des nouveaux groupes ?

    Oui, j’apprécie Audioslave, Velvet Revolver, Lost Prophets, et quoi d’autre ?, peut-être certains trucs dans Linkin Park.

     

    L’inspiration te vient de partout, mais on sent toujours cette influence d’anciens groupes ?

    Oui, car les vieux trucs restent toujours. Nous avons tous grandi ensemble et quand nous sortions ensemble pour boire un coup, nous allions voir Deep Purple, Rainbow, Whitesnake, Ufo, MSG, Thin Lizzy et cela reste nos racines. Nous n’avons pas à chercher, ces influences ressortent de manière naturelle.

     

    Etes-vous tentés par de nouvelles expériences, en acoustique par exemple ?

    Je ne sais pas. L’acoustique est reposant, mais pour l’instant nous voulons surtout jouer fort et tout exploser.

     

    Votre set est composé d’un mélange d’anciens morceaux et de nouveaux. Est-ce que le public réagit bien aux nouveaux morceaux :

    Oui, il n’y a pas de problème, car il apprécie bien les nouveaux morceaux, car nous avons choisi de jouer ceux qui plaisent vraiment. Evidement, nous jouons certains anciens morceaux que le public connaît, mais je dois dire que le mélange des deux fonctionne très bien.

     

    Tout le monde connaît “The Final Countdown” qui a été diffusé un nombre incalculable de fois. Est-ce que jouer ce morceau chaque soir peut-il être considéré comme faisant partie d’un boulot ou prenez vous toujours du plaisir à l’interpréter ?

    Oh, nous apprécions toujours de le jouer, car même si c’est un morceau qui a été écrit il y a longtemps, il  rassemble toujours les gens et l’ambiance est toujours fantastique sur ce titre.

     

    Tu nous parlais avant du nouvel album. Peux-tu nous en dire plus ?

    Nous avons commencé à y penser il y a quelques semaines et quelques idées sont déjà ressorties mais l’écriture va vraiment débuter après l’été.

     

    Est-ce que cet album va suivre la voie de “Start From The Dark” où les guitares sont plus puissantes et les claviers plus en retrait :

    Je ne sais pas encore, car il est trop tôt pour en parler. En fait, nous allons peut-être essayer des trucs, mais ce qui est certain c’est que nous allons faire l’album que nous allons ressentir.

     

    Le marché musical est très différent depuis vos débuts :

    Oui, c’est dur surtout si tu ne fais pas partie d’un groupe live. Si tu joues live, tu peux t’en sortir, car quand tu joues et que tu es dans un super groupe, ce qui est le cas avec Europe, c’est super et cela se ressent et les gens se rappellent cela et ils en parlent entre eux après. Tout a changé néanmoins, puisque les grosses compagnies n’ont plus autant de pouvoir. Tu peux maintenant vendre ton album de différentes manières, comme par exemple en licence.

     

    Tu nous parlais d’un nouveau dvd, mais qu’en est-il d’un album live puisque le groupe n’en a jamais enregistré et que de plus, le groupe sonne tout à fait différemment sur scène qu’en studio, puisque les morceaux sont joués souvent de manière plus hard ?

    C’est en cours, car nous avons enregistré plusieurs shows notamment au Japon, mais pour l’instant aucune décision n’a été prise sur le choix d’enregistrement qui figurera sur l’album. Il est vrai que certains de nos albums ont une production très claire alors qu’en live c’est différent, c’est vrai

     

    Surtout que vous possédez un sens aigu de la communication :

    Oui, nous nous en sommes rendus compte l’été dernier avec les shows et nous avons voulu vraiment continuer dans cette voie, car les gens s’en souviennent après et puis depuis quelques temps, les gens veulent revoir des vrais groupes sur scène.

     

    Depuis quelques temps la scène rock s’est développée en Scandinavie. Qu’en penses tu ?

    Oui, je sais qu’il y a pas mal de jeunes groupes qui viennent de Finlande, de Suède, mais je trouve que leur musique est différente de la nôtre qui est plus axée sur nos racines et les seventies. Certains groupes sont plus heavy. Le rock gothique est également très populaire que j’aime bien avec son coté dark.

     

    A quoi attribues-tu cette profusion de groupes venant du nord ? A l’hiver qui est très long ?

    Oh oui, cela peut être une explication, car nous avons pas mal de temps pour écrire pendant l’hiver.

    Merci à Yves du web mag Passion Rockzinr de m'avoir autoriser à publier son interview!

    Vous pouvez retrouver l'interview à son emplacement d'origine ici :

     

    interview Joey

     

    Valérie


    2 commentaires
  • Cet article est tiré du journal Alsace Presse paru le 12 août 2004. J'en fais donc ici la retranscription.

    Valérie

    L'un des groupes phares du hard rock FM des 80's a fait son retour sur la scène française avant-hier à <st1:personname productid="la Foire" w:st="on">la Foire</st1:personname> aux vins de Colmar après plus de dix ans d'absence. Les Suédois d'Europe ont convaincu un public très fan.<o:p></o:p>

    Des cheveux lisses, longs et châtains ont remplacé les bouclettes blondes qui ont fait la réputation du quintette suédois. Ian Haugland, le batteur, a même sacrifié sa tignasse pour un crâne rasé digne de notre Barthez national.<o:p></o:p>

    Les anciennes midinettes, devenues de respectables trentenaires, avouent tout bas en pincer encore pour le beau Joey Tempest, leader charismatique d'Europe, de retour sur scène après dix années de silence. Pour sa seule date française d'une tournée européenne, le groupe suédois a choisi <st1:personname productid="la Foire" w:st="on">la Foire</st1:personname> aux vins. Et les 4 000 fans, dont des métaleux purs et durs qui arboraient avant-hier d'imposants tatouages et des tee-shirts Judas Priest, Wasp ou encore Sepultura, attendaient avec impatience le show des gars du nord.
    Histoire de montrer que la flamme est toujours là, Joey Tempest et sa troupe démarrent fort avec un Seven doors hotel hargneux, le chanteur démontrant avec agilité qu'il peut jongler sans mal avec son porte micro.
    « I can feel it ! »
    A 41 ans, sautillant et visiblement heureux de retrouver son public, Tempest enchaîne avec Wings of tomorrow, morceau heavy tiré du second album. Très complices, les rockers scandinaves enflamment la scène du théâtre de plein air. Les bras dépliés, collé sur le mur de baffles qui crache une ligne de basse, Joey mène la danse. « It's a fantastic evening. I can feel it ! », lance-t-il, tout sourire.
    Le chanteur enfile une guitare sèche et gratifie le public d'une version soft de Carrie, la ballade magique que tout groupe de hard rock se doit de composer. Un mémorable solo de John Norum laisse pantois les sceptiques. Ian Haugland en fait autant avec ses baguettes et propose au public un duo sympa.
    Le premier rappel fait la part belle aux tubes de la formation avec Cherokee , hommage aux Indiens d'Amérique, et Rock the night. Second rappel, le groupe interprète un extrait (Start from the dark) du futur album qui devrait sortir cet automne. Et puis vient l'apothéose, ce que le public attendait depuis une heure trente. La mélodie très eighties du clavier de Michaeli annonce The final countdown. Cinq dernières minutes de bonheur et d'énergie. <o:p></o:p>

    N.R. (auteur de l’article)

    DNA


    votre commentaire
  • Cet article est tiré du journal Alsace Presse paru le 12 août 2004. J'en fais donc ici la retranscription.

    Valérie

    Comme en 1992, quelque 4000 spectateurs ont acclamé les cinq Suédois du groupe de hard Europe. D'un côté comme de l'autre, l'énergie était la même.

    Le cliché veut que Europe ne soit le groupe que d'un seul tube, The Final Countdown. Mardi soir, au théâtre de plein air, devant quelque 4 000 fans déchaînés, les cinq Suédois ont démontré le contraire.

    Avec un set costaud de 17 morceaux de hard rock musclé, tous plus transcendants les uns que les autres, la formation mythique des années 1980, au grand complet à Colmar, signe son grand retour. Sur les coups de 22 h, une ligne de basse lancinante annonce la déferlante sonore. Puis, tel un déluge de riffs acérés, Joey Tempest et ses acolytes lance Seven doors hotel. Visiblement, ils sont heureux d'être là et promettent, de la bouche du chanteur, « une soirée très spéciale ».
    La fosse du théâtre est en ébullition. Après tant d'années, voici enfin leurs idoles venues du Nord devant leurs yeux. Un pied (de micro !) toujours en l'air, le bondissant Joey ne tient pas en place. Tantôt blues sur Ready or not, tantôt calme sur Carrie, le répertoire « Européen » ne se limite pas qu'au hard. Mais si les créations capillaires se sont assagies, ce n'est pas le cas de la musique.
    Le nouveau morceau, Start from the Dark annonce un album dans la lignée des anciennes compositions. Religieusement, le public écoute cette composition toute fraîche annonciatrice d'un nouveau chapitre dans l'histoire de Europe. Et en deuxième rappel, alors que le compte à rebours avant la fin du concert a commencé, les musiciens offrent un pur moment de bonheur avec un The Final Countdown de folie.
    À l'heure de l'Europe à 25, les rois suédois du hard rock sont de retour. Au plus grand bonheur des fans, qui retrouvent un Europe au top.

     

    Yannick Bohn (auteur de l'article)

    <o:p> </o:p>

    Joey Tempest et le groupe Europe ont offert aux quelque 4 000 spectateurs de la foire aux vins le show qu'ils attendaient.


    Alsace Presse


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique