• Voici des vidéos de EUROPE à Taïwan le 4 avril 2010

    EUROPE à Taiwan le 4 avril 2010 : Girl From Lebanon

    EUROPE : Start From The Dark

    EUROPE : Cherokee


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  • Voici une vidéo de Tarja Turunen et SCORPIONS lors d'une émission tv en Allemagne

    Tarja Turunen et SCORPIONS : The Good Die Young le 27 mars 2010 show tv allemand


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  • Savez-vous qu'il n'y a pas que Joey Tempest qui nous fait de magnifiques "cascades" sur scène? Si Joey est doué pour trébucher ou déraper, il y en a un autre qui est tout aussi doué... J'ai nommé Axl Rose le chanteur de GUNS'N ROSES dont voici la preuve :

    Voici une vidéo de Axl Rose qui se gamelle lors d'un concert pendant Knoking On Heavens Door à environ 1 mn 16 :


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  • Bonjour,

    Nadine m'a envoyé une interview de EUROPE qu'elle e traduit en français. Merci encore Nadine pour le temps que tu passes à faire ce bon travail.

    Vous pouvez donc trouver cette news suivante :

    EUROPE : interview traduite en français

    Bonne lecture!

    Valérie


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  • Voici une interview que Nadine (qui va devenir ma traductrice attitrée si cela continue ;-)) m'a envoyé. Merci Nadine pour ton travail !

     

    Oxford Mail – 11/02/2010

    Par Tim Hughes

     

    Interview en V.O. ici :

    Blog /Presse – Europe : http://europethebandmedia.blogspot.com/2010/02/oxford-mail-interviews-joey-tempest.html 

    Oxford Mail : http://www.oxfordmail.co.uk/leisure/musics/music/5002742.Euro_Stars/

    Les vrais géants du rock Europe seront toujours associés à leur excitant hymne The Final Countdown (TFC). Mais Europe, c’est plus que leur classique air de guitare. Le groupe de rock ayant le plus de succès en Suède a eu des hauts et des bas depuis 1979, quand le leader Joey Tempest et le guitariste John Norum ont trempé pour la première fois leurs orteils dans le « bassin glacé » du glam-rock scandinave.

    Ils ont sortis 8 albums, vendu 16 millions de copies et tourné autour du monde. Mais impossible d’échapper à l’ombre de ce hit – qui a atteint le top des charts dans au moins 25 pays.

    « TFC est connu », dit Joey, avec un regard sous-entendu. « Mais les vrais fans de rock savent que nous avons fait 8 albums et des milliers de chansons, et que TFC est seulement l’une d’entre elles. »

    « Ca a commencé comme juste le morceau d’un album et c’est devenu le morceau de toute une vie. Nous l’avons écrit comme un titre d’ouverture pour un concert avec des claviers que nous avions empruntés. Ca ne devait même pas devenir un single. Nous avons décidé de faire une vidéo live et l’avons sortie – et les gens ont réalisé que c’était un joyau – c’est magique ! Elle communique avec les gens à un niveau de pur rock. »

    « Personne alors ne pensait que ce serait un classique ». Alors qu’en est-il de cette chanson qui a capté l’imagination de la planète ? Joey réfléchit longuement. « Ca coule bien » dit-il après un long moment. « Je pense que c’est unique. C’est comme une bande originale de film, sans le film. Ca te prend, comme ça !… »

    « Nous étions inspirés par des groupes anglais de métal comme UFO, avec lesquels nous avons grandi, et nous avons utilisé ce tempo galopant. Le thème spatial, dans le même temps, vient de Space Odity de David Bowie. Je suis arrivé avec ce thème quand j’avais 16 ans mais je ne l’ai pas utilisé pour un morceau avant 1985, quand j’avais 22 ans. » « Nous sommes un groupe très orienté guitare mais sommes beaucoup plus heavy que la plupart des gens l’imaginent. L’an dernier, nous avons joué au Bloodstock (à Staffordshire) qui est un festival de métal extrême. Les gens se demandaient ce que nous faisions là mais nous avons joué hard et avec un max de puissance, et ils ont adoré. »

    Bien qu’ils n’aient plus « siégé » la plus grande partie des années 90, ils se sont réunis en 2002 et se sont remis dans le bain, affichant un travail typiquement nordique, éthique. « Nous avons décidé de faire un break en 1992 » dit Joey, qui se prépare pour une nouvelle tournée ici, chez lui, à Londres, avec sa jeune femme (Teesside ? ? ?) Lisa Worthington-Larsson et leur fils Jamie.

    « Les médias pensaient que nous n’existions plus, mais nous avions juste décidé de travailler sur autre chose. J’ai fait 3 albums solos en tant qu’auteur-compositeur-interprète, et donné plein de concerts, mais le groupe me manquait de plus en plus. Nous nous sommes à nouveau rencontrés, le soir du réveillon du millénaire, et nous avons joué 2 chansons en plein-air à Stockholm, notamment TFC. Il faisait très froid mais c’était bien d’être ensemble à nouveau. Nous avons aussi vu ces autres groupes des années 80 qui tournaient et se demandaient pourquoi nous n’écrivions pas de nouvelles chansons. »

    Alors ils l’ont fait. Et il explique : «  c’est comme si nous ne nous étions jamais séparés ». « Nous avons réalisé que nous devions revenir ensemble et en 2004, nous avons enregistré un album de come-back. Notre batteur (Hakan Jan « Ian » Haugland) a dit qu’il avait l’impression de revenir d’une pause-café ».

    « Durant les 5 dernières années, nous avons sorti 3 albums, incluant notre dernier opus, Last Look at Eden (LLAE). Avec ses gros riffs, c’est un lien avec notre passé mais il a un son moderne quand même, et nous nous sommes entourés de jeunes talents pour le produire », dit Joey.

    Le 22 février, Europe assurera un concert à l’Oxford Academy avec en 1ère partie, les rockers de black country Diamond Head. Pour Europe, ça compte comme un concert intimiste.

    « Nous avons joué une fois au Milton Keynes Bowl avec Bon Jovi devant 60 000 personnes, ce qui était dingue », se rappelle Joey. « Nous avons aussi joué avec Metallica, à Tokyo, « qui fut aussi un énorme concert » ».

    C’est dans les années 80, de façon très prévisible, qu’ils ont eu le plus de fanatiques les suivant, alors. « Une fois, nous étions en Italie » se rappelle-t-il ; « Nous étions à Rome et avions décidé de faire du tourisme. Nous sommes allés du côté de la Basilique Saint-Pierre. Nous y sommes entrés comme des touristes mais nous avons été reconnus. Pour finir, nous avons dû retourner en courant à notre limousine, poursuivis à l’extérieur de l’église par les foules ! Ca arrivait beaucoup… »

    Comme de bons hard-rockers qui se respectent, ils étaient aussi connus (et reconnus) comme aimant faire la fête. Mais Joey admet qu’ils se sont rangés. Beaucoup. « Nos pires moments (« les plus sauvages », littéralement, dans le texte  ;-D), c’était au début, et il y a eu des moments très très fous » dit-il. « Nous aimons toujours faire la fête ; mais c’était devenu 20% de musique, 80% de fête. Maintenant c’est le contraire ».

    Une chose est sûre pourtant : pas de signe de compte à rebours final pour Europe. Ils sont là pour rester.

    © Tim Hughes @ Oxford Mail


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